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Charlotte Berens, une nouvelle coéquipière pour la région Grand Ouest

Dernière mise à jour : 18 sept. 2020

Diplôme d’ingénieur agronome, spécialisation chimie verte, en poche, Charlotte est partie en Amérique latine pour découvrir une « autre agriculture » et comprendre comment s’articule la gestion des déchets sur ce territoire. Elle en est revenue pleinement convaincue et plus passionnée que jamais. 

Depuis, elle a évolué dans différents postes (ingénieur études, responsable d’exploitation, responsable commercial…) grâce auxquels elle a pu approfondir son expertise en valorisation agronomique des déchets organiques, dragage et traitement des sédiments ainsi qu’en terrassement/dépollution. Des expériences et expertises qui font échos à plusieurs grands domaines d’interventions de Neo-Eco ces dernières années. En 2020, Charlotte se lance dans une nouvelle aventure en rejoignant l’équipe !  

1/ Qu'est-ce qui t'as donné envie de développer l’économie circulaire ? 

« Mon retour d’expériences et pratiques que j’ai pu observer sur le terrain.

Par exemple, le potentiel des déchets de chantier « gaspillé » alors qu'ils constituent de véritables ressources non épuisables pour d’autres acteurs.

Ou encore les coûts énergétiques d’une grande usine pour faire tourner leur process, alors qu’une autre usine du territoire paie pour traiter son flux de biodéchets, capables de produire plusieurs centaines de gigawatt-heures de méthane…La notion de synergie et de boucles me sont apparues comme une évidence. »

2/ Comment as-tu connu neo-eco ?  

« Pour commencer, via les cahiers des charges des appels d’offres lancés par les grandes MOA d’Ile de France comme la SGP, SOLIDEO, RTE… Je me suis dit « Chapeau d’avoir réussi à intégrer de si longs paragraphes concernant la valorisation matière des déblais dans les CCTP ! ». J’ai ensuite rencontré Christophe DEBOFFE et Amine KADIRI lors d’un oral dans les bureaux de la SGP. J’ai immédiatement aimé les valeurs et l’approche de Neo-Eco, que je partage pleinement : à savoir l’Économie circulaire a une ambition Écologique certes mais avant tout Économique. Avec Neo, ce ne sera pas une approche purement théorique mais des solutions pragmatiques et opérationnelles. »

3/ Quel est ton rôle ? Dans quelle région ?  

« Je suis en charge de développer des boucles d’économie circulaire opérationnelles dans la région Grand Ouest. »

4/ Quelles sont les problématiques majeures là-bas ? (DRI, sédiments, terres…) 


« Je viens d’arriver depuis peu dans la région. Mais, ce qui est marquant, c’est le dynamisme en termes d’aménagements et d’infrastructures de la métropole nantaise et de la Carène agglomération de Saint-Nazaire, lié entre-autres à un accroissement de la population sur ces 5 dernières années.

La déconstruction sélective et l’écoconstruction à l’échelle territoriale ainsi que la valorisation matière des déblais et des sédiments sont des enjeux cruciaux. 

Compte-tenu de la pression foncière et de l’objectif Zéro Artificialisation Nette, la mutualisation et les synergie inter-entreprises sont pleinement à l’ordre du jour. »

5/ Quels sont les éléments qui t'ont marqués en arrivant chez Neo-Eco ?  

« Avant toute chose la bienveillance des collaborateurs ! J’ai eu un super accueil. Le temps passé, notamment avec les référents des différents écosystèmes, m’a permis de comprendre rapidement les secteurs d’activités et le fonctionnement de l’entreprise, et que de changements !

Un management avant-gardiste, précurseur de la RSE, à l’instar de l’organigramme très original : un réseau multi-transversal où l’ensemble des membres de l’équipe est interconnecté. Chez Neo, on monte l’équipe la plus appropriée pour chaque projet et chacun des membres est tout autant responsable de son aboutissement. C’est un moyen d’impliquer tous les collaborateurs et d’avoir une motivation hors pair. »

6/ Pour toi, quel est le plus gros défi à relever quand tu commences chez Neo-Eco ?  

« C’est justement de changer les mécanismes de nos expériences passées, dans des entreprises plus cloisonnées où la hiérarchie prédomine, et de bien comprendre cette nouvelle organisation et communication 3.0. Mais honnêtement, j’ai intégré la société depuis 15 jours et on prend rapidement le pli, avec plaisir ! »

Ces perceptives de développement de l’économie circulaire dans la région Grand Ouest, grâce à l’installation de Charlotte à Nantes, incarne la volonté de Neo-Eco de poursuivre son déploiement dans l’ensemble des régions françaises.

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